Matsue Gakuen
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 Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto

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5 participants
AuteurMessage
Ginger Matsumoto

Ginger Matsumoto


Messages : 36
Date d'inscription : 16/08/2013
Age : 32

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MessageSujet: Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto   Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto EmptyDim 18 Aoû - 10:46

MATSUMOTO - Ginger



"On s’étonne trop de ce que l’on voit rarement, et pas assez de ce que l’on voit tous les jours.
"







Personnage
|- Nom : Matsumoto
|- Prénom : Ginger. Mais dans son enfance, sa famille l’appelait Gin-chan.
|- Date de naissance : 8 juillet 1990
|- Âge : 23 ans
|- Groupe souhaité : Culture, mode et people
|- Métier souhaité (Citadin) :
|- Poste souhaité (Journal) : Photographe

HRP
|- Comment avez-vous connu le forum ? : Par un bon ami ^^
|- Notez votre présence sur le forum : pas plus de 4 ou 5, hélas
|- Pourquoi ce forum ? : Parce que le contexte est vachement original, pour le coup =O
|- Votre avatar (nom du manga et du personnage) ? : fait par sharandula, sur Deviantart…



"Physique"

Un moineau sur les pavés. Ginger est une toute petite crevette d’à peine 1m57 et seulement 43 malheureux kilos pour sculpter avec parcimonie ses formes féminines. De fait, si elle possède de jolies jambes déliées et une taille étroite, elle est en revanche très complexée par son manque affligeant de poitrine. Et si vous aurez du mal à la remarquer en la croisant dans une rue, c’est parce que son allure et sa démarche de souris discrète la dérobent aux regards. Il est d’ailleurs plutôt facile de la bousculer, à son grand dam.

Mais si d’aventure vous parvenez à apercevoir sa frimousse, le plus souvent bien caché derrière les longues boucles châtaines qui lui chatouillent les omoplates, vous ne serez tout de même pas déçu. Elle a beau être japonaise par sa mère, Ginger semble avoir tout pris du côté européen de son papa. Et, bien qu’encore marqués par les rondeurs de l’adolescence, ses traits ciselés avec finesse accusent une noblesse déroutante sur un si jeune visage, qui lui donnerait presque l’air d’une lady anglaise désargentée, surgie d’un roman du XIXe. Et puis au-delà de ça, n’est-ce pas qu’elle est mignonne avec son petit bout de nez retroussé, sa bouche rose et charnue comme un joli fruit et ses grands yeux bleus qui illuminent sa peau claire ? La gracilité de ses membres et ses articulations délicates achèvent de lui donner l’impression de fragilité qui échoit aux petites statures comme la sienne, sans compter qu’elle n’a pas une santé très vigoureuse. Sa fâcheuse tendance à tomber malade ne lui permet que rarement de se défaire de ses pulls et écharpes, à la rigueur chemises manches longues et foulards l’été, ce qui lui convient très bien. En effet, complexée par son manque de formes, Ginger préfère estomper son corps dans des vêtements larges. Cependant, comme ça n’empêche pas la coquetterie, elle a une belle collection de chemises à dentelles, jabots et autres fanfreluches, ainsi que plusieurs bonnets péruviens pleins de jolies couleurs. Mais à part cette touche de fantaisie dans les couvre-chefs, sa garde-robe reste très passe-partout. Un peu comme elle. Enfin, jusqu’à ce qu’elle ouvre la bouche.

Car si elle bégaie plus souvent qu’à son tour lorsqu’il lui faut s’adresser à ses semblables, il n’en est pas du tout de même lorsqu’elle s’avise de chanter. Pure, ample et cristalline, sa voix d’enfant semble être, pour les grands lyriques, celle d’un ange par son timbre caressant, aussi harmonieux que puissant. D’autant plus qu’en l’espace de quelques mesures à peine, la frêle Ginger paraît se déployer et rayonner de l’émotion de son chant. Elle n’a alors plus rien de la petite souris timide qu’elle est d’habitude. Et bien que rien au monde ne saurait aujourd’hui la contraindre à pousser la chansonnette en public, il n’est pas exclu que vous l’ayez déjà entendue…


"Caractère"

Est-il besoin de le préciser ? Ginger n’est pas exactement un modèle de confiance en soi, vous l’aurez compris. A ceci près que la timidité dépasse quelque peu chez elle les limites du raisonnable. L’avantage du photographe, c’est qu’il peut se cacher derrière le reporter lors des interviews. Une aubaine pour elle qui serait bien incapable de prendre la parole en public sans écoper d’une belle crise de panique. Et même dans la vie de tous les jours, jamais vous n’aurez à ce point eu l’impression déroutante d’être un vil satyre écumant rien qu’en vous avisant de lui demander votre chemin dans la rue, à plus forte raison si vous êtes un homme. En effet, elle ne supporte pas le contact physique avec ces derniers. Ceci dit, comme elle est presque toute aussi peureuse avec les femmes, c’est à se demander comment elle parvient à vivre dans un pays aussi peuplé que le Japon…

Pourtant, contrairement aux apparences, Ginger n’est pas dénuée de caractère. Lorsqu’elle est seule, elle fait montre d’un goût prononcé pour l’aventure qui lui fait parfois prendre des risques pour une belle photo ou une découverte intéressante. Bien à l'abri de sa discrétion naturelle, elle adore particulièrement observer les gens quand ils ne la remarquent pas. Malgré sa réserve, l’art et les rencontres y afférant la passionnent au plus haut point et des conditions de travail ardues ne sont pas pour lui faire peur. Incorrigible rêveuse, naïve et spontanée, elle parle souvent plus vite que la raison avec une candeur attachante et il ne lui en faut que peu pour échafauder des histoires rocambolesques avec trois fois rien, le plus souvent des babioles dénichées dans ses nombreuses promenades qu’elle ramasse ou achète pour conserver dans ses boîtes à trésors. Enfantin, comme comportement ? Certes. Là encore, elle complexe un peu. Mais elle n’en est pas moins dotée de maturité et d’un sacré sens pratique, surtout depuis qu’elle a emménagée seule à Kumano. Et puis, il ne faut pas croire. Même si elle courbe souvent la tête sans oser répliquer sous les remarques, les moqueries ou les reproches, il y a parfois des moments où ça finit par péter, lors d’accès de colère assez surprenants pour une crevette dans son genre. Mais bon, il faut quand même sacrément le chercher. Ou alors, ça veut dire qu’elle commence à se dévoiler et c’est plutôt bon signe.

Car on peut approcher la petite Ginger. Si on fait l’effort de la titiller régulièrement pour la sortir de sa coquille, elle finit par s’ouvrir et révéler un peu de son petit monde intérieur. Joyeuse et douce, elle ne demande au fond qu’à partager ses plaisirs simples et ses rêves d’évasions, tout en gardant pour elle ses peurs, ses regrets et ses défauts. Et comme on ne peut pas tout avoir, vous saurez bien au bout d’un moment qu’elle est parfois capricieuse, boudeuse et entêtée quand elle le veut bien, ou plutôt quand elle vous fait confiance, ce qui n’est pas donné à tout le monde. Plus rares encore ceux qui ont parfois le privilège de l’entendre chanter de nouveau (aucun en date depuis près de quatre ans, à vrai dire).  A ce sujet, ne vous avisez pas de lui rappeler des mauvais souvenirs ou un de ses nombreux complexes, et moins encore de critiquer ses bonnets. Vous risquez d’être mal reçu, sans compter qu'elle peut être assez rancunière. Même s'il ne s'agit, au fond, que de maladresse…


"Histoire"

Depuis l’ère Meiji, il y a toujours eu des Soma au service des Matsumoto. Quand bien même l’une d’entre eux serait blonde et ne parlerait pas un traître mot de japonais.

Elle avait trois ans quand elle est arrivée au domaine familial pour la première fois, à Nagano. Kiyoko-sama, de retour dans la maison de son père après quatre années au Royaume-Uni, n’y revenait que pour retourner à Tokyo presque immédiatement en laissant derrière elle cette petite fille qui n’avait jamais mis les pieds au Japon et dont nous avions du mal à prononcer le prénom. L’un dans l’autre, il était sans doute louable de vouloir la tenir à l’écart du divorce houleux de ses parents mais à l’époque, il a été très éprouvant pour toute la maisonnée de la voir pleurer à longueur de journée en appelant son « Daddy », sans même pouvoir la consoler parce qu’elle ne comprenait rien de ce que nous disions et avait peur de nous. Mais malgré tout, parce que le patriarche des Matsumoto nous avait ordonné de prendre soin de sa petite fille et parce qu’un Soma ne désobéit pas, nous avons fait notre devoir aussi honorablement que possible. C’est-à-dire que nous avons passé la main à nos propres enfants, bien plus compétents que nous en la matière. Et cinq générations au service d’une même famille, ça finit par en faire un paquet, de compagnons de jeu. La petite Ginger Matsumoto avait donc beau  ne parler que l’anglais et être complètement terrifiée à son arrivée au domaine familial, elle n’eut pas moins de onze petits Soma, de deux à quinze ans, pour prendre soin d’elle comme son vénérable grand-père nous l’avait ordonné. Ils s’en sont plutôt bien tirés.

Peu à peu, tout doucement, Gin-chan a cessé d’avoir peur, a appris le japonais et a pu faire véritablement connaissance avec ses grands-parents, ses oncles, ses tantes et ses cousins et cousines lorsqu’ils étaient de passage au domaine, dans l’ensemble heureux de pouvoir la traiter comme un membre de la famille. Et même si elle n’appréhendait pas encore totalement le divorce de ses parents, elle semblait se satisfaire d’aller chaque année à Brighton, en Angleterre, pour passer les vacances d’été avec son père et la famille de ce dernier. C’est là-bas qu’on lui a offert son premier appareil photo, le premier d’une longue série. Sa mère l’accueillait à Tokyo pendant les autres vacances, accompagnée de sa nounou Sachika, parce que Kiyoko-sama était bien trop prise par son travail d’animatrice de talk-shows télévisés pour pouvoir lui consacrer beaucoup de temps. Malgré un départ assez chaotique, on pouvait donc dire que l’enfance de Gin-chan se déroulait bien. Au moins ne manquait-elle de rien et semblait-elle heureuse, ce qui nous suffisait amplement à nous autres, les serviteurs qui nous étions tant bien que mal attachés à cette petite. Tout a même très bien été jusqu’à sa neuvième année. Cette année où Glen Hammer, commodore de l’air dans la Royal Air Force, fut porté disparu au cours d’une mission, laissant derrière lui une famille éplorée en Angleterre et une petite fille tout aussi ébranlée, à l’autre bout du monde.

Dérogeant à l’habitude établie depuis son enfance, Gin-chan partit pour Brighton en plein hiver afin d’assister aux funérailles. Pour la première fois, son grand-père l’accompagna malgré son âge avancé en lieu et place de Kiyoko-sama, qui n’avait pas pu se libérer. En temps que serviteurs loyaux des Matsumoto, nous n’avons fait aucun commentaire mais la désapprobation s’est toujours passée de mots parmi nous. Après la cérémonie et le début du deuil, il a été convenu que Gin-chan continuerait à passer l’été en Angleterre, avec la famille de son père. Elle lui ressemblait tant que nous ne doutions pas qu’elle serait bien traitée. Les ans ont repris leur cours après cet évènement tragique et nous avions beau entourer notre petite maîtresse de toutes les attentions pour l’aider à passer ce cap, nous savions qu’il laisserait sa marque sur elle. Et même si elle finit par retrouver le sourire, retourner à l’école et reprendre une vie normale, nous l’avons vue devenir plus réservée, rêveuse et encline au calme que lors de ses années d’enfance. Mais comme elle avait toujours un sourire à nous offrir, des jeux à nous consacrer, des photos à nous montrer et de gentilles histoires à partager, nous ne nous en inquiétions pas. Nous nous disions qu’elle serait toujours notre petite Gin-chan de toute façon. Nous ne nous doutions pas que nous avions tord.

Cela commença par quelque chose d’anodin, et que nous jugions même plutôt bon. Pour la première fois, Kiyoko-sama avait trouvé le temps de venir assister à la chorale de fin d’année, où sa fille était soliste durant sa dernière année de lycée. Nous nous disions que ce n’était pas trop tôt, parce que ça ne datait pas d’hier. Gin-chan avait toujours eu une jolie voix et si ses grands-parents faisaient chaque année le déplacement pour la représentation, Kiyoko-sama avait selon nous beaucoup de culot de ne pas faire de même (bien entendu, cet avis personnel n’a jamais passé les cuisines de la maison). Pour ses dix-sept ans, donc, Gin-chan eut la joie de pouvoir chanter en comptant sa mère dans le public, en s’appliquant de son mieux. En s’appliquant tellement que Kiyoko-sama tomba des nues en découvrant le talent de sa fille. Et étant donné la rapidité avec laquelle elle a obtenue une audition avec des gens du label TNX, il est certain aujourd’hui qu’elle ne l’avait jamais entendu avant. En moins d'une semaine, les contrats furent signés et notre Gin-chan devint une idol. A daté de ce moment, elle disparut du domaine pendant presque trois ans et la grande maison qui avait vu chaque jour déambuler sa petite silhouette blonde nous parut soudain bien terne.

Nous ne la déposions plus au lycée chaque matin, et ne la ramenions plus chaque soir. Nous ne lui préparerions plus ses bentôs. Nous ne nous demandions plus comment elle parvenait à crotter ses vêtements jusqu’au col en allant se promener avec ses cousins dans la forêt. Nous ne lui confiions plus le plateau de thé pour l’apporter à ses grands-parents et leur raconter ses journées. Nous ne les emmenions plus tous les trois au Zenkō-ji ou au Suwa-taisha. Nous n’avions plus à lui demander de ranger correctement ses appareils photos. Nous ne l’entendions plus rire. Seules les quelques visites des autres enfants Matsumoto parvenait à égayer un temps soit peu le domaine. En revanche, il nous suffisait d’allumer la télé et de mettre la bonne chaîne pour l’entendre chanter. Dans des tenues de fillette acidulées qui ne lui plaisaient sans doute pas du tout, elle se trémoussait en rythme au milieu d’autres filles attifées comme elle pour scander des tubes sucrés et enjoués qui plaisaient aux collégiennes et aux otakus, certainement. Nous la voyions ainsi presque tous les jours et même si seule Kiyoko-sama nous donnait des nouvelles de temps à autres, nous savions rien qu’à son sourire qu’elle n’était pas heureuse et nous étions tristes nous aussi. Nous en avons voulu à sa mère pour l’avoir jetée sur le devant de la scène et nous avons prié pour qu’elle nous soit rendue le plus vite possible, que nous puissions prendre soin d’elle comme avant. Mais lorsqu’au bout de trois ans TNX n’a pas renouvelé son contrat, ce n’est pas Gin-chan qui est revenue à Nagano.

Celle que nous avons vu passer le portail était maigre, les traits tirés et marquées par une angoisse effrayante et elle a eu beau pleurer pendant toute la soirée de son retour, aucun d’entre nous n’a pu la toucher. C’est à peine si ses grands-parents ont pu la prendre dans leur bras. Nous avions l’impression de retrouver la petite fille de trois ans qui réclamait son « Daddy » et avait peur de nous. Une fois encore, il nous a fallu beaucoup de temps et de douceur pour parvenir à l’apprivoiser de nouveau, mais jamais les barrières ne sont tombées comme au temps de son enfance. Elle n’a voulu parler à personne de ce qui s’était passé pendant ces trois années à Tokyo et nous ne l’avons plus entendu chanter, ne serait-ce qu’une seule fois. Et à dater de ce jour, plus aucun Soma n’a prononcé avec respect le nom de Kiyoko (au point où on en était...). De toute façon, Gin-chan n’a plus jamais voulu retourner à Tokyo. Avec l’accord de son grand-père, elle a pris des courts de lettre à la fac par correspondance, tout en continuant la photographie. Elle a même réussi à intégrer un club d’amateurs avec qui elle a monté quelques petites expositions à Nagano, même si elle ne se rendait jamais au vernissage. Nous étions heureux de la voir reprendre goût à la vie, et inquiets de voir que nous avions toujours du mal à l’approcher. Nous aurions voulu prendre soin d’elle comme de la petite fille d’autre fois, tristes de voir qu’elle avait grandi loin de nous et sans doute pas de la meilleure façon qui soit. C’est pour cela que nous avons tous été très surpris quand elle nous a annoncé vouloir quitter le domaine pour trouver du travail et vivre sa vie. Aucun de nous ne la pensait prête, certains d’entre nous ont étés jusqu’à demander au patriarche (suprême présomption !) ce qu’il en était, si on allait vraiment la laisser prendre son envol de façon aussi brutale. Contre toute attente, c’est bien ce qu’il advint.

En épluchant les petites annonces sur Internet, Gin-chan entendit parler du tout nouveau journal qui recrutait dans la ville de Kumano. Et même si le Kansai ne nous a jamais semblé aussi loin, nous l’avons aidé à s’y installer quand sa candidature a été retenue. Nous avons cherché un appartement avec elle, son grand-père a accompli les formalités administratives, nous avons emballés avec elle ses vêtements, ses appareils, ses boîtes à trésors. Nous avons installés ses meubles dans son nouveau logement. Nous avons nettoyé son ancienne chambre dans le domaine. Nous lui avons souhaité bonne chance. Nous l’avons prié de nous donner des nouvelles et de ne pas hésiter à appeler, ou même à revenir, si elle avait besoin de nous. Parce que quoi qu’il advienne, il y aurait toujours un Soma pour venir en aide à Ginger Matsumoto. Ce qui ne nous empêche pas de souhaiter, avouons-le, qu’elle s’en sorte toute seule…


© Never-Utopia


Dernière édition par Ginger Matsumoto le Lun 9 Sep - 20:36, édité 2 fois
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Jeanne Dubreuil
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Jeanne Dubreuil


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MessageSujet: Re: Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto   Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto EmptyDim 18 Aoû - 17:02

Bienvenue Ginger !

Je n'ai pas réussi à me détacher de ta fiche avant de l'avoir fini. Vraiment, tu donnes à ton personnage beaucoup de complexité et de profondeur avec énormément de simplicité. Me voilà fan du petit rossignol que j'espère voir rechanter un jour ><

Et ça me fait d'autant plus plaisir de voir le premier membre du groupe Culture, Mode, People !

Te voilà validée, amuse toi bien sur Epoch Times :)
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Miu Nishimura

Miu Nishimura


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Profession : Journaliste (Sport)

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MessageSujet: Re: Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto   Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto EmptyDim 18 Aoû - 17:15

Wouahhh *_*

Trop mignonnheuuu ! Tout pitite et tout ! 

Éclate toi bien avec nous Gin-chan \o/
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Ginger Matsumoto

Ginger Matsumoto


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MessageSujet: Re: Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto   Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto EmptyDim 18 Aoû - 17:50

Hiiiiiiiiiii, des gens qui me paaaaaarlent ><

Merci pour cette validation rapide et cet accueil chaleureux ! J'ai hâte de rp parmi vous, chers collègues et futurs modèles ^w^
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Fred Wentworth
Admin
Fred Wentworth


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Date d'inscription : 23/07/2013

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MessageSujet: Re: Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto   Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto EmptyDim 18 Aoû - 20:03

Wow ! De même que Jeanne, je n'ai pas pu m'en détaché avant la fin.
Bienvenue Rossignol. J'ai hâte de te lire en RP.
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Shingen Boya

Shingen Boya


Messages : 61
Date d'inscription : 31/07/2013
Age : 45
Profession : Flic (ripoux)

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MessageSujet: Re: Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto   Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto EmptyMar 20 Aoû - 18:59

Bienvenue à toi ! Désolé pour le retard, mais c'est bien connu, les flic arrivent toujours après la bataille lol
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Ginger Matsumoto

Ginger Matsumoto


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Age : 32

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MessageSujet: Re: Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto   Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto EmptyMar 20 Aoû - 19:35

Merci merci, c'est très gentil ^^ (et puis, vieux motard que jamais comme on dit...)
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MessageSujet: Re: Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto   Un moineau sur les pavés ~ Ginger Matsumoto Empty

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